Le Cameroun est sous le choc depuis quelques heures après un événement tragique qui s’est déroulé à Douala, impliquant trois jeunes filles et une victime qui aurait succombé à ses blessures. Cet acte de violence extrême a suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux. Mais de nouvelles sources indiquent que la victime serait encore en vie.
Les faits : une cruauté inimaginable
Selon les informations, trois jeunes filles ont attiré une autre jeune fille dans un piège en se faisant passer pour son petit ami. Une fois la victime arrivée, elle a été déshabillée, battue et humiliée par le groupe. Les filles l’ont aspergée d’un liquide inflammable. Ce niveau de cruauté est non seulement choquant mais également inimaginable. Selon certaines sources, la victime a été conduite à l’hôpital, mais malheureusement, elle n’a pas survécu à ses blessures.
Mais selon d’autres sources la victime serait toujours en vie hospitalisée. « La petite amie a été piégée par les amies de sa rivale. En fait le gars pour qui elle se fait taper, est un pro@xénète. Et toutes les filles là sont dans le groupe. Le gars place les filles. Bon bref revenons à nos chattes. Les amies de sa rivale l’ont tabassée et l’ont rasé la tête. La petite est donc allée chercher le retour qui est arrivé pour massacrer toutes les filles là, mais ils ont pu intercepter un seule et l’ont badigeonnée d’acide », a raconté un internaute qui dit connaître la victime. Il ajoute qu’ « en ce moment, tout le monde dans la vidéo [de la scène horrible], est déjà aux arrêts y compris la fille qu’on a rasé ainsi que le gars pour qui on l’a tapée ».
Dans une vidéo qui circule sur la toile depuis a soirée de ce lundi 28 août 2023, la jeune fille brûlée avec un liquide inflammable est en vie. Elle apparaît dans une vidéo et dit s’appeler Ngo Bahop Chimène, âgée de 20 ans.
Réactions et appels à la justice
L’affaire a provoqué une onde de choc sur les réseaux sociaux, où les internautes ont massivement réagi. Les appels à punir sévèrement ces filles sont nombreux, et la pression monte sur les autorités camerounaises pour qu’elles prennent des mesures drastiques. Ce drame soulève également des questions sur la sécurité des femmes au Cameroun et met en lumière la nécessité de mesures de protection plus efficaces.
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