Camille Makosso est une fois de plus au cœur de l’actualité. Cette fois, ce n’est pas pour une de ses sorties médiatiques controversées, mais pour une décision qui pourrait changer sa vie personnelle. Selon la presse ivoirienne, le président de la Commission des pasteurs évangéliques et protestants a reçu un ultimatum : il dispose d’un délai de 12 mois pour se remarier.
La commission des pasteurs met la pression à Camille Makosso
Cette injonction fait suite à une réunion au sein de la commission, où plusieurs pasteurs ont exprimé leur inquiétude quant à son statut matrimonial. Veuf depuis plusieurs années, Camille Makosso continue de faire parler de lui sur les réseaux sociaux, parfois de manière jugée excessive. Les autorités religieuses estiment qu’un remariage pourrait l’aider à adopter une posture plus conforme à son rôle spirituel.
Invité sur le plateau de l’émission Showbuzz ce lundi 10 mars, Camille Makosso a réagi à cette exigence en affirmant qu’il était ouvert à cette perspective. « Je pense que c’est nécessaire. Une femme à mes côtés pourrait me donner de bons conseils sur les choses à éviter », a-t-il confié, semblant prêt à franchir ce cap.
Quant au profil de celle qui pourrait devenir sa nouvelle épouse, Makosso a tranché : « Ce sera une Camerounaise, parce que j’ai fait cette promesse au peuple camerounais en raison de notre alliance ». Il admire la forte personnalité des femmes camerounaises, qu’il décrit comme franches et directes, des qualités qu’il semble rechercher.
Visiblement prêt à entamer cette nouvelle phase de sa vie, il a même lancé un appel aux femmes intéressées : « Je vais prier après cette émission, et je sais que certaines vont m’envoyer des messages ». Une déclaration qui a immédiatement suscité des réactions sur les réseaux sociaux, où certains voient en lui un véritable stratège médiatique.
Une décision qui divise l’opinion
L’annonce de cet ultimatum a provoqué un vif débat en Côte d’Ivoire et au sein de la communauté chrétienne. Certains fidèles estiment que cette exigence est légitime et pourrait l’aider à mieux encadrer ses actions, tandis que d’autres dénoncent une intrusion dans sa vie privée. Pour Makosso, l’objectif est clair : il prend cette directive au sérieux et envisage de respecter les recommandations de la commission. Reste à voir si cette future union apaisera son image ou si elle ne fera qu’alimenter davantage la controverse.
