L’influenceuse ivoirienne Maa Bio a récemment fait une sortie remarquée sur les réseaux sociaux au sujet de l’artiste gospel Ks Bloom. Si elle a tenu à exprimer son admiration pour le chanteur, elle a aussi regretté de ne pas avoir été approchée lors de sa venue à Los Angeles. Une déclaration qui a surpris plus d’un, mais que certains interprètent comme une promotion subtile pour le nouveau titre de l’artiste, “Pardonner”.
Une déclaration mêlant frustration et admiration
Sur ses réseaux sociaux, Maa Bio n’a pas caché son affection pour la musique de Ks Bloom : « C’est l’un de mes artistes préférés, je l’écoute en boucle, sa musique me donne des frissons », a-t-elle confié avec émotion. Toutefois, ce message d’admiration était suivi d’un reproche : lors d’un séjour de l’artiste à Los Angeles, il aurait rendu visite à un ami sans prendre le temps de la contacter, ni même lui prodiguer un mot spirituel ou un conseil.
L’influenceuse, qui s’exprime avec franchise et humour, a ponctué son message d’un ton ironique : « Yfy non souley », une expression familière pour souligner une déception mêlée d’amusement. Si la forme a fait sourire, le fond a suscité débat : s’agit-il simplement d’une remarque spontanée ou d’un coup de projecteur déguisé autour du thème du pardon ?
Une coïncidence qui alimente la thèse de la promotion ?
Ce qui alimente davantage les spéculations, c’est la coïncidence entre cette sortie de Maa Bio et la sortie récente du morceau “Pardonner” de Ks Bloom. Certains observateurs estiment qu’il pourrait s’agir d’une manière originale d’attirer l’attention sur la chanson, en jouant sur une situation vécue et en rapport avec le message du titre. Une stratégie bien pensée, si elle est avérée.
Dans tous les cas, cette interaction crée le buzz et met à nouveau Ks Bloom sous les projecteurs. L’artiste, connu pour son message de paix, d’amour et de pardon, n’a pas encore réagi publiquement à la déclaration de Maa Bio. Mais l’effet est là : la discussion est lancée et le titre “Pardonner” est sur toutes les lèvres.
