Emma Lohoues, l’une des influenceuses les plus populaires d’Afrique francophone, a récemment pris la parole pour partager une partie méconnue de son passé. Lors d’une interview, elle a déconseillé à ses jeunes sœurs et à toutes les femmes d’accepter le rôle de maîtresse dans les mariages des autres.
Un témoignage personnel et sincère d’Emma Lohoues
Emma Lohoues n’a pas hésité à se livrer sur son passé de maîtresse, une expérience qu’elle qualifie de « trop fatigante et dévalorisante ». Elle a expliqué : « Moi-même, j’ai été maîtresse… C’est trop fatiguant cette vie… C’est dévalorisant ! Chacun décide de son choix de vie. Mais moi-même ayant déjà été maîtresse, je ne peux pas conseiller une telle vie à une autre femme ». Par ces mots, elle cherche à dissuader les jeunes femmes de suivre cette voie, qu’elle considère comme néfaste pour l’estime de soi et la dignité personnelle.
L’influenceuse a souligné que la vie de maîtresse n’apporte rien de bon et qu’elle est principalement source de souffrance et de fatigue émotionnelle. « Il n’y a rien d’intéressant dans cette vie. C’est très fatigant en plus », a-t-elle ajouté. En partageant son expérience, Emma Lohoues espère que ses jeunes sœurs éviteront les pièges dans lesquels elle est tombée et choisiront des chemins de vie plus valorisants et respectueux de leur personne.
Les conséquences du karma et la réalité du statut de maîtresse
Emma Lohoues a également abordé la notion de karma et les conséquences de voler le mari de quelqu’un d’autre. « Bon, il faut dire aussi que le karma existe dans cette affaire de maîtresse. Tu as cherché mari des gens aujourd’hui, demain quand tu seras mariée, d’autres maîtresses vont chercher à t’arracher ton mari », a-t-elle averti. Cette déclaration met en évidence un cycle de souffrance et de méfiance que la vie de maîtresse peut engendrer.
Elle a insisté sur le fait que la position de maîtresse est temporaire et que, lorsque celle-ci se marie, elle laisse son poste vacant pour une autre femme qui pourrait à son tour menacer son foyer. « La maîtresse d’aujourd’hui doit aussi s’attendre à cela le jour où elle rentre aussi dans un foyer. Quand on change de statut ; de maîtresse, on devient une femme mariée, on laisse son poste de maîtresse vacant ou en héritage à d’autres. Qui elles aussi chercheront à ravir le foyer de la maîtresse d’hier », a-t-elle expliqué.