Axel Merry : une tournée africaine pour le single Kimi

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Axel Merry : une tournée africaine pour le single Kimi

Le comédien béninois Axel Merryl excelle dans la musique. Deux semaines sa sortie, le clip de sa chanson Kimi, cumule déjà plus de 4 millions de vues sur Youtube, témoignant de l’adhésion du public.

Axel Merryl sera sur scène dans plusieurs pays africains en juillet

Après avoir publié le clip à succès, Axel Merryl est retourné en France où il suit ses études. Dans une publication sur Facebook récemment, Axel Merryl a annoncé qu’il sera en tournée en Afrique en juillet prochain. « Hâte de vous rejoindre en Juillet pour des prestations au Benin en Côte d’Ivoire en Guinée au Burkina au Cameroun au Gabon et dans pleins d’autre pays sur mon continent ». Les fans de l’artiste s’impatiemment de passer de bons moments avec lui.

Il y a quelques jours, Axel Merryl a dénoncé un homme qui essaie de lui voler ses droits d’auteur. « Il y a un mec, il prend mon son et il le publie encore sur les plateformes de streaming en changeons de titre pour gagner de l’argent avec et récupérer mes droits, comme si c’est pour lui. C’est vous même qui cherchez les problèmes et les problèmes viennent vous trouver ohh, est-ce qu’il sait même qu’il risque la prison ? », a écrit Axel Merryl.

Cependant, un internaute a attiré l’attention d’Axel Merryl sur un aspect crucial de cette affaire. Selon cet utilisateur des réseaux sociaux, la possibilité d’emprisonner la personne qui tente de voler les droits d’auteur dépend de la mise sous licence de la chanson en question. « La prison, pas sûr, sur les plates-formes c’est la logique des licences qui fait la différence… il faut mettre sous licence ton son via une maison d’édition(publishing) pour que lorsque des choses comme ça se produise tu as la possibilité de récupérer ses royalties sinon au cas contraire il va prendre tes droits d’auteur et de synchro », a écrit l’internaute en question.

En réponse à ce commentaire, Axel Merryl a assuré à ses fans qu’il avait déjà pris les mesures nécessaires pour protéger sa création. Il a affirmé que le processus de mise sous licence de Kimi était en cours et qu’il avait agi avec toute la diligence requise. « Tout a été fait. Je ne suis pas un enfant. C’est même pour ça qu’on a su qu’il y a eu un fou qui a fait ça », a-t-il ajouté.

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