Après une pause dans ses activités d’influenceuse, Diana Bouli surprend ses fans en annonçant son retour sur les bancs de l’école. Alors que certains saluent sa volonté de se cultiver davantage, d’autres remettent en question ses motivations réelles et y voient une simple stratégie publicitaire pour l’IIPEA.
Retour à l’école, une décision surprenante pour Diana Bouli
Diana Bouli, l’influenceuse connue pour ses contenus mode et lifestyle, a récemment annoncé une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe auprès de sa communauté de fans. En effet, elle a décidé de reprendre les cours à L’Institut Internationale Polytechnique des Elites d’Abidjan (IIPEA), en s’inscrivant en première année de licence (L1). Cette décision inattendue a provoqué des réactions mitigées parmi ses followers.
D’un côté, de nombreux admirateurs de Diana Bouli ont retenu sa volonté de se former davantage et de ne pas se reposer uniquement sur sa notoriété en tant qu’influenceuse. Ils voient dans cette décision une sagesse, encouragent d’autres jeunes à poursuivre leurs études même en étant déjà engagés dans une carrière.
Cependant, d’autres voix se sont élevées pour remettre en question les motivations réelles de Diana Bouli. Certains considéraient que son retour à l’école n’est qu’un moyen de faire la publicité de l’IIPEA et de bénéficier d’une visibilité accrue pour cette institution. Selon eux, il s’agirait d’une stratégie de marketing bien pensée pour attirer l’attention sur l’école et générer un intérêt commercial.
Les détracteurs soulignent que Diana Bouli, en tant qu’influenceuse élaborée, aurait pu choisir d’autres moyens pour continuer son apprentissage, tels que des cours en ligne ou des formations professionnelles. Ils remettent également en question la sincérité de sa démarche, arguant que l’influenceuse cherche simplement à se diversifier et à se réinventer pour préserver son image publique.
Quelles que soient les motivations réelles de Diana Bouli, il est indéniable que son retour à l’école a suscité l’intérêt du public et alimenté les débats.