Depuis qu’il a officialisé son remariage, le pasteur congolais Marcello Tunasi est la cible de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux. Certains fidèles et internautes jugent trop rapide son union avec la prophétesse Esther Aïcha, un an seulement après le décès de sa première épouse, Blanche Tunasi. Face à cette vague de commentaires, l’homme de Dieu a brisé le silence… en un mot.
Un mariage très commenté sur la toile
Le mercredi 23 juillet 2025, Marcello Tunasi a dit « oui » à Esther Aïcha lors d’une cérémonie discrète à Bruxelles. Un an après la disparition de sa femme Blanche, emportée par la maladie en juin 2024, ce remariage a surpris une partie de l’opinion publique, notamment sur les réseaux sociaux. Pour certains, le délai de deuil aurait été trop court.
Les critiques fusent sur les plateformes numériques. Certains internautes vont jusqu’à remettre en question la sincérité du leader spirituel, l’accusant de tourner trop vite la page. D’autres soulèvent la question de l’image du couple pastoral, souvent vue comme un modèle dans les milieux chrétiens. Malgré la vague d’indignation, le pasteur n’a pas répondu dans la précipitation.
Une réponse sobre, mais lourde de sens
Ce vendredi, Marcello Tunasi a posté un message laconique sur ses réseaux sociaux : un seul mot, « Focus ». Une manière claire de signifier qu’il reste concentré sur sa mission, malgré les polémiques. Pour lui, les critiques ne sauraient détourner son attention de ce qu’il juge être la volonté de Dieu pour sa vie.
Ce mot unique a déclenché une vague de réactions. Entre ceux qui saluent sa maturité spirituelle et ceux qui continuent de contester ses choix, le débat est toujours vif. Mais pour le principal concerné, il s’agit avant tout de suivre la paix intérieure qu’il revendique, soutenu par de nombreux fidèles qui voient dans cette union une nouvelle page de sa destinée.
Le remariage de Marcello Tunasi rappelle combien les figures religieuses sont scrutées dans leurs moindres choix. Si la douleur de la perte reste personnelle, la décision de refaire sa vie publique en tant que leader chrétien est toujours sujette à l’interprétation. Le pasteur a choisi de ne pas s’expliquer longuement. Son mot d’ordre est simple : avancer.
