AccueilPeopleMusiqueKerozen brise le silence face aux accusations de Debordo

Kerozen brise le silence face aux accusations de Debordo

Une tension palpable secoue le milieu du coupé-décalé depuis quelques jours. En toile de fond : des accusations lancées par Debordo Leekunfa contre son collègue Kerozen, à la suite de l’annulation de son concert prévu le 4 juillet 2025 au Casino de Paris. Selon Debordo, Kerozen et son équipe seraient les instigateurs de cette annulation. Des propos que Kerozen qualifie de « diffamatoires » et contre lesquels il a décidé de réagir fermement.

Une rivalité mal digérée entre artistes

La mésentente entre Kerozen et Debordo est née avec la proximité de leurs concerts respectifs en France. Kerozen devait se produire le 12 juillet 2025 au Zénith Paris La Villette, tandis que Debordo était programmé pour le 4 juillet au Casino de Paris. Une coïncidence de dates qui avait déjà suscité la désapprobation de Kerozen. Celui-ci avait dénoncé publiquement « un manque de solidarité entre artistes ivoiriens », soulignant qu’un promoteur soucieux de l’équilibre artistique aurait dû éviter de coller les deux dates.

Malgré cette remarque, les deux artistes avaient maintenu leurs concerts, sans hostilité apparente. Toutefois, suite à l’annulation du concert de Debordo, la situation a basculé. Le chanteur a pointé du doigt son confrère, insinuant que Kerozen et son équipe auraient manœuvré pour torpiller son événement.

Kerozen contre-attaque et parle de diffamation

Face à la gravité des accusations, Kerozen a lors d’un point de presse organisé pour annoncer le report de son concert, fermement répondu. « Ces propos mensongers sont très graves et diffamatoires. L’affaire suivra son cours. Je ne reculerai pas. Vous êtes déjà avertis », a-t-il déclaré devant les médias, visiblement affecté mais déterminé à laver son honneur.

Pour Kerozen, ces allégations sont non seulement infondées, mais aussi dangereuses pour l’image de la musique ivoirienne à l’international. Il s’est toutefois voulu conciliant sur un point : « Debordo, c’est mon frère, jusqu’à preuve du contraire ». Un message qui laisse entrevoir la possibilité d’une réconciliation, à condition que le calme et la vérité reprennent le dessus.

Roseline GOUNDJO
Roseline GOUNDJO
Je suis Roseline Goundjo, journaliste rédactrice et je trouve plaisir dans la culture, la musique, la lecture et les voyages. Partie des appréciations des interautes sur mes différents écrits sur des sujets relatifs à la société, le People et les relations internationales, j'ai pris l'engagement de toujours les satisfaire.
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