JO Paris 2024 : Aya Nakamura répond aux rumeurs sur son interprétation d’Édith Piaf et le rôle de Macron (vidéo)

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JO Paris 2024 : Aya Nakamura répond aux rumeurs sur son interprétation d'Édith Piaf et le rôle de Macron (vidéo)
Aya Nakamura

Depuis sa prestation remarquée lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, Aya Nakamura, star de la scène musicale française, est au cœur d’une controverse inattendue. Son interprétation d’un classique d’Édith Piaf a suscité de vifs débats, certains allant jusqu’à impliquer le président Emmanuel Macron dans le choix de la chanson. Débordée par les rumeurs et les critiques, l’artiste franco-malienne a décidé de sortir du silence pour clarifier la situation.

Un choix artistique mal interprété

Le 26 juillet 2024, Aya Nakamura a pris part à l’événement historique d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Perchée au sommet de la Tour Eiffel, elle a livré une performance qui n’est pas passée inaperçue. Cependant, ce n’est pas tant sa présence qui a fait parler, mais plutôt l’interprétation d’une chanson emblématique d’Édith Piaf, « L’Hymne à l’Amour ». Les médias français ont rapidement propagé l’idée que ce choix avait été imposé par le président Emmanuel Macron lui-même, une allégation qui a suscité un torrent de réactions et de critiques.

Face à l’ampleur de la polémique, Aya Nakamura a choisi de briser le silence ce dimanche 25 août 2024, lors d’un live sur ses réseaux sociaux. Elle a alors expliqué les circonstances réelles de ce choix artistique. « Déjà, il faut savoir que les Jeux olympiques et Emmanuel Macron, ça fait deux (…). Quand je dis ça, c’est dans le sens où j’ai vu plein de médias dire “C’est Macron, qui a fait qu’Aya vienne”. Oui ! C’est le président de la République, mais il ne m’a pas imposé Edith Piaf. C’est faux ! », a-t-elle déclaré avec fermeté. Pour Aya, il était essentiel de rétablir la vérité et de démontrer qu’elle avait eu une totale liberté artistique lors de sa prestation.

Un malentendu sur l’interprétation d’Édith Piaf

Aya Nakamura a poursuivi ses explications en soulignant que l’idée d’interpréter un morceau d’Édith Piaf ne venait pas d’Emmanuel Macron, contrairement aux rumeurs véhiculées par certains médias. « Il m’a demandé qui j’aimais bien, est-ce que j’aimais Edith Piaf ? J’ai répondu : “Oui”. C’est une grande artiste (…). Je vois, deux semaines plus tard, quand je sors du défilé Schiaparelli, que tous les médias sont au courant que je vais faire les JO (…). Ils disent oui, “Macron a imposé à Aya Nakamura de chanter Edith Piaf. C’est faux ! ». Elle a précisé que, bien que la question lui ait été posée, le choix final de la performance était déjà acté et ne comprenait pas spécifiquement un morceau d’Édith Piaf pour les JO, mais plutôt pour un autre événement, le Vogue World.

La chanteuse a également profité de cette mise au point pour rappeler l’importance de la liberté artistique dans ses choix musicaux. « On a discuté tous ensemble, et le choix du show était déjà fait (…). Il n’était pas question d’Edith Piaf. C’est au Vogue World que je devais chanter du Edith Piaf ». Ces précisions ont permis de dissiper une partie des malentendus entourant sa performance, mais ont également mis en lumière l’impact des rumeurs infondées sur la perception publique des événements.

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